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  • Frédéric Laffont – Films & Livres | Camera Magica

    Découvrez les films de Frédéric Laffont. Camera Magica est une maison de production de films documentaires. En artisan. Avec le souci du bel ouvrage. Immagina, racconta e cuci storie uniche. Come artigiano. Con la passione per il bel lavoro. Film e libri, per promuovere una certa idea di umanità. à propos. Giri in giostra poi tour mondiali. Circa sessanta film: importanti reportage e documentari. Premio Albert Londres per un resoconto sulla guerra in Libano. Una raccolta di circa quindici cortometraggi per Hermès, Impronte nel mondo . Un lungometraggio girato in Ucraina dal 2022. Saggi letterari scritti a Parigi, Anche Gerusalemme, Kigali e Kabul. Frédéric Laffont Un regista raro. Le Nouvel Obs. Filmografia selezionata Nous, l’Ukraine 2025, long-métrage cinéma. Empreintes sur le monde 2025, Collection d'Hermès de courts-métrages. La vie devant nous France, 2022. FIPADOC 2022. Couleur café Inde, 2019. Les Enchanteurs Belgique, 2017. Étoile SCAM. Cowboys don’t cry Texas, 2015. Mesure et démesure Jura suisse, 2014. Liban, des guerres et des hommes (série 3 x 52’) FIPA & Étoile SCAM, 2014. Dans les bottes de Clint Texas, Étoile SCAM 2013. Les mains d’Hermès France, 2011. 1$ pour une vie Burkina, Mali, Inde, USA, 2009. FIPA 2010. Voyage au centre de la Bibliothèque Paris, 2007. 1001 jours Israël-Palestine, Étoile SCAM 2007. TOKYO BLUES & SUSHIS CONFITS Japon, 2004. Poussières de Paix Israël-Palestine, Prix Festival d’Angers 2002. Secrets de cuisine de l’Ambroisie France, 2001. Fleur de Cannelle Chili, 2000. Liban, voyages, voyages Grand Prix Ptolémée de Géographie, 2000. Banlieue Olympique France, 1998. planète CNN USA, Bosnie, Jérusalem, 1997. Fugues américaines Louisiane, Prix Saulieu 1996. Anges et démons de la cité France, 1994. CAPTAIN W, ASTRONAUTE USA, 1994. Le Menu France, 1994. Maudits soient les yeux fermés Rwanda, 1996. Grand Prix Angers et Écran d’Or Montréal 1996. Dieu, poste restante, Jerusalem Jérusalem, 1993. A quoi rêvent les boxeurs ? France, Grand Prix Palerme, 1994. Ramdam sur terre et mer France, 1993. Entracte au Château de Prague République tchèque, 1993. Beyrouth,des balles et des ballons Nymphe d’Or & Prix critique internationale Festival Monte-Carlo, 1993. Poussières de Guerre Afghanistan, URSS. Grand Prix Angers & Festival Rueil, 1990. À corps, À cœur, À cris Monde, 20 ans MSF, 1992. Prix Spécial Festival Int. Monte-Carlo, 1992. Autofolies France, 1990. L’opium du peuple URSS, 1988. Colères noires de Soweto Afrique du Sud, 1988. On s’aimait tant à Santiago Chili, 1988. Pas de larmes pour Mao Chine, Meilleur Reporter d’Image, 1987. La guerre des nerfs Liban, P rix Albert Londres, 1987. La mer arrive encore au Liban Prix du jury Festival Monte-Carlo, 1987. Shanghai New Look Chine, 1985. I suoi documentari hanno la strana bellezza dei primi film di Pasolini. L'Express films. film. livres libri. Au 24 faubourg Saint-Honoré éditions de L'Iconoclaste, 2024 Une vie par le menu Prix Passion Littérature éditions de L'Iconoclaste, 2022 Mille et un jours, mille et une nuits éditions Arléa, 2002 à propos du conflit isréalo-palestinien. Maudits soient les yeux fermés édition Lattès, 1995 à propos du génocide au Rwanda Poussières de guerre éditions Robert Laffont, 1990 Sur la guerre URSS-Afghanistan Co-écrit avec Christophe de Ponfilly contact. contatto. Votre nom Votre e-mail Votre numéro de téléphone Écrivez votre message ici Envoyer Merci pour votre message

  • Tokyo Blues & Sushis confits | Frédéric Laffont | Camera Magica

    Entre Tokyo et Paris, Frédéric Laffont dresse le portrait de Fumiko, l'une des chefs de cuisine les plus doués de sa génération. C'est un film sur la création, la quête de perfection, le plaisir et le goût. Tokyo Blues e Sushi Candito Un film di Frédéric Laffont A cura di Mathilde Muyard Durata: 1h18' © Interscoop, 2004 Attraverso il ritratto di Fumiko, una delle chef più talentuose della sua generazione, questo film parla di creatività, ricerca della perfezione, piacere e gusto. Ambientato tra Tokyo e Parigi, è la ricerca di un'artista alla ricerca della sua strada.

  • Maudits soient les yeux fermés | Frédéric Laffont | Camera Magica

    "Nous sommes en août 1994. Frédéric Laffont, journaliste et réalisateur, vient d'arriver à Kigali pour filmer durant un an la mise en place puis les audiences de cette cour extraordinaire. Maudits soient les yeux fermés... est bien un film sur l'histoire. Mais, précieusement, pour la première fois il raconte l'impalpable : comment on oublie." Maledetti occhi chiusi Gran Premio Angers, Schermo d'Oro Montreal 1996 Vita: "Una pietra nello stagno, con infinite onde d'urto." Le Monde: "Il film di Frédéric Laffont non è un documentario sui massacri: non vedremo un'immagine delle atrocità commesse tra aprile e luglio 1994, secondo un piano premeditato a livello statale; né ascolteremo le testimonianze dei sopravvissuti. Maledetti siano i tuoi occhi chiusi descrive la lotta isolata e impossibile di tre individui determinati a raccogliere fatti e testimonianze affinché la storia non venga riscritta e giustizia sia fatta. Incontrano solo ostacoli e minacce. Il film di Laffont è come una traccia del silenzio che si diffonde. Rileggete Primo Levi." Libération: "È l'agosto del 1994. Frédéric Laffont, giornalista e regista, è appena arrivato a Kigali per trascorrere un anno filmando l'istituzione e poi le udienze di questo tribunale straordinario. "Volevo documentare la scrittura della storia. Nel 1945, i processi di Norimberga e il suo "Mai più" erano le fondamenta del nostro mondo attuale." Mentre scorrono i titoli di coda, la telecamera torna improvvisamente in Ruanda, sulla scena del massacro, teschi, ossa, valigie sparse ovunque. Uno shock. In un'ora e mezza, avevamo già perso ogni memoria. Maledetti siano i vostri occhi chiusi... è davvero un film sulla storia. Ma, per la prima volta, racconta con pregio l'intangibile: come dimentichiamo." Versione inglese: MALEDETTI SIA CHIUSO L'OCCHIO Durata: 45' © Interscoop, BBC, 1996 Un film di Frédéric Laffont A cura di Jean-François Giré Durata: 54' © Interscoop, La Sept/Arte, 1995 Rwanda, 1994. Un génocide. Comment écrire l'histoire, demander justice ? Trois personnages en quête de justice au Rwanda Par CORINE LESNES Le Monde, le 03 décembre 1995 à 00h00 Directeur de l'agence Interscoop, lauréat du Prix Albert-Londres, auteur de nombreux grands reportages remarqués, Frédéric Laffont ne pouvait probablement éviter cet événement sans précédent dans l'histoire de la deuxième moitié du vingtième siècle : un génocide reconnu par l'ONU. Il s'est attaqué au sujet dès août 1994 et y a travaillé plus d'un an. Un an d'aller-retour Paris-Kigali. Plus quelques voyages annexes : La Haye (où siège le tribunal international), New York (pour un rendez-vous au bureau 3341 de l'ONU), Bruxelles (où se côtoient les opposants hutus et les déçus du nouveau régime tutsi). Le résultat : Rwanda, Maudits soient les yeux fermés, un documentaire de 80 minutes, coproduit par La Sept et Arte et Interscoop; et un livre, Maudits soient les yeux fermés, écrit en collaboration avec Françoise Bouchet-Saulnier, édité par J.-C. Lattès-Arte. Le réalisateur a choisi de centrer son travail sur le thème de la justice en suivant trois personnages, pareillement attachés à ce que l'Histoire ne se dilue pas dans le pragmatisme de la réconciliation, mais que l'on voit jeter l'éponge, progressivement. Le premier, Joseph Matata, un Hutu, militant des droits de l'homme, se trouvait à l'étranger quand le génocide a commencé. De Kigali à Bruxelles, où il finit par se réfugier pour écrire une pièce de théâtre sur la « tragédie rwandaise» (celle d'hier et d'aujourd'hui), on le voit taper sur sa vieille machine les témoignages des rescapés qu'il a interrogés sur les collines. Un travail qu'il fait pour lui-même autant que pour l'Histoire, car le réalisateur ne cache pas que ces témoignages n'ont aucune valeur juridique pour les instances officielles. Dans son épreuve imposée, Frédéric Laffont a su choisir le ton et la musique qui conviennent aux images de restes humains empilés sans lesquels il semble ne plus y avoir de vision du Rwanda. Mais ses images les plus fortes montrent des vivants, les prisonniers, empilés eux aussi par milliers dans leurs cellules. Elles apparaissent presque au détour du film, comme si le réalisateur lui-même en avait eu un peu peur. Ce sont pourtant les plus saisissantes, les plus gênantes, et certains Rwandais qui ont assisté à la projection en avant-première à Paris ne s'y sont pas trompés. Aussitôt, ils ont dénoncé une manoeuvre « politique», répétant qu'on ne saurait mettre sur le même plan le sort des prisonniers, exécutants présumés du génocide, avec celui qui a été réservé aux Tutsis et aux Hutus progressistes en 1994. Il n'empêche. On disait ici même les prisons surpeuplées et leur visite éprouvante en janvier. Elles comptaient 14 000 détenus. Aujourd'hui, il y en a 59 000. On se demandait comment ils pouvaient s'allonger tous en même temps. Aujourd'hui, ils se marchent littéralement dessus. La caméra de Frédéric Laffont les suit au ras du sol, là où s'enchevêtrent leurs pieds. Parmi les maladies les plus courantes, outre la dysentrie, il y a désormais les lésions des membres inférieurs, les nécroses des orteils. Faute de pouvoir se reposer régulièrement, les jambes souffrent d'oedèmes, qui vont parfois jusqu'à nécessiter l'amputation. Quinze mois après les premières arrestations, aucun détenu n'a été jugé. Alors que l'ONU et le CICR ont aménagé de nouveaux centres de détention, aucun détenu n'y a encore été transféré. Selon Médecins sans frontières, le nombre de morsures humaines est aussi en augmentation dans ces lieux, pour ne pas dire camps de concentration que sont devenues les prisons.

  • Anges et démons de la cité | Frédéric Laffont | Camera Magica

    "Réalisé avec subtilité et humour, Anges et démons porte sur la banlieue et les gens qui y vivent un regard juste, généreux et sans pitié." Angeli e demoni della città L’Express : "Questo documentario ha la strana bellezza dei primi film di Pasolini. Il film di Frédéric Laffont è un capolavoro che vorremmo vedere al cinema. Qui non ci sono cliché. Frédéric Laffont lo dimostra: nessun argomento è banale quando ci si mette di mezzo la passione." Le Point : "Frédéric Laffont, l'autore, firma qui un documento caustico. Uno schiaffo ai buoni sentimenti e ai pregiudizi sulla sicurezza." Le Monde : “Girato a La Mare Rouge, un quartiere ”malfamato" della periferia nord di Le Havre, questo documento è una straordinaria cronaca di quartiere. Frédéric Laffont ha trascorso due mesi sul posto. È riuscito a conquistare la fiducia dei giovani che, in cambio, gli hanno fornito testimonianze di grande impatto. Realizzato con sottigliezza e umorismo, Anges et démons offre uno sguardo giusto, generoso e spietato sulla periferia e sulle persone che vi abitano." Télérama : “Si percepisce una certa distanza in questo sguardo franco che scruta i successi e i fallimenti con occhio sensibile. E il film appare come un racconto della vita ordinaria, sincero, giusto e profondamente toccante.” Le Monde (bis) : “Un film senza demagogia, commovente e bello, che non è stato realizzato con l'intento di suscitare pietà. Una lezione di umiltà.” Libération : “Potrebbe essere un western o un film di gangster, con bande rivali e luoghi sacri di scontro. Frédéric Laffont si è immerso per sette settimane in una città di Le Havre per riportarne una storia in cui la realtà rivaleggia con il romanzo. L'aria della periferia come raramente... Cruda, vissuta e tutt'altro che triste.” Montaggio: Jean-François Giré Durata: 1h31' © Interscoop, Francia 3, 1994 Le Havre, le città del Mar Rosso, Auchan, angeli e demoni...

  • Cowboys don't cry | Frédéric Laffont | Camera Magica

    “Le réalisateur Frédéric Laffont connaît Clint depuis six ans. Avec lui, il a parcouru des milliers de kilomètres en voiture. De ce compagnonnage, il nous rapporte un documentaire émouvant sur un père et ses trois fils qui, soudés comme un seul homme, tentent de prendre leur revanche sur la misère. Il filme une Amérique profonde qui en bave, et la vie d'un jeune Texan - loin du mythe du cow-boy - qui a presque tout perdu pour une finale, gage d'un futur meilleur.” I cowboy non piangono Le Monde: "Il regista Frédéric Laffont conosce Clint da sei anni. Ha percorso con lui migliaia di chilometri in auto. Da questa compagnia, ci regala un documentario commovente su un padre e i suoi tre figli che, uniti come uno, cercano di... la loro vendetta sulla miseria. Filma un'America profonda e sofferente e la vita di un giovane texano, lontano dal mito del cowboy - che ha perso quasi tutto (la sua fidanzata, la sua salute e i suoi ultimi dollari), per una finale, una promessa di un futuro migliore." Un film di Frédéric Laffont A cura di Catherine Rascon Durata: 1h28' © Camera Magica, Les Films d'ici - 2014 Intervista a Frédéric Laffont, di Billy the Kid. Billy the Kid: «Il Padre, il Figlio e lo Spirito Santo?» I sogni del padre nel corpo del figlio. Questa è una delle definizioni di tragedia per i Greci. Fortunatamente, nella famiglia Cannon, per sopravvivere alle prove, si ride di tutto. Il padre evoca la caduta di Icaro. Sa che si può morire se si vuole avvicinarsi troppo al sole, ma non smette mai di volerlo toccare... Clint, invece, assomiglia al Sisifo di Omero che fa rotolare all'infinito il suo enorme masso fino alla cima inaccessibile della montagna. Clint passa da un rodeo all'altro. Non è schiavo del sogno di suo padre. Se ne libera poco a poco... Niente Spirito Santo, ma tanta trascendenza! Un western del XXI secolo? I Cannon non conoscono né i classici del western né quelli della letteratura americana, ma la loro immaginazione è stata plasmata dal mito del West. Hanno la sensazione di essere gli ultimi uomini liberi, ma che il loro spazio continui a ridursi. Questo è uno dei grandi temi del western. Come dice Clint: «Tutto il mondo sa che l'America è stata costruita dai cowboy. Non la lasceremo morire». Essere un cowboy all'inizio del XXI secolo significa affrontare chilometri in un'auto con l'aria condizionata, la solitudine e la noia nei parcheggi, ma per Clint significa anche difendere una certa idea di patria. Credono nel sogno americano, lo incarnano. Cosa sognano i cowboy? “Alla fine della strada c'è un ranch. Il nostro ranch.” È l'ultima battuta di Clark Gable a Marilyn Monroe in Gli spostati di John Houston (1961). Più di 50 anni dopo, questo sogno non è invecchiato di un giorno. Nell'immaginario dei cowboy, il ranch è caratterizzato dall'assenza di vicini, una terra vergine come lo era il West nella mitologia hollywoodiana. Vivere lontano dalla città, vicino alla natura, tra cowboy, cani, cavalli e mucche... Un mondo tanto mitico quanto irreale, dove i cowboy possono vivere in accordo con i propri valori. Quali sono questi valori? Valori di solidarietà, codice d'onore e cortesia. Come nei film! Si aiuta sempre il prossimo, soprattutto se è un cowboy. Si ospita a casa propria, si dà da mangiare, si trova lavoro a un concorrente ferito o al verde che è naufragato in Texas... Ci si ferma di notte per proteggere una donna sola rimasta in panne su una strada deserta del Nevada. Si danno gli ultimi dollari a chi è più povero di noi. In tutti questi anni di riprese, non ho mai trovato difetti nei Cannon per quanto riguarda i loro valori cavallereschi. Qual è la loro visione del mondo? Binario. Il bene, il male. Il buono o il cattivo. Con noi o contro di noi. Clint era deluso di aver trovato il New York Times sul sedile della mia auto. Per lui è un po' come la Pravda. I Cannon non leggono il conservatore Houston Chronicle, trovano che ci siano troppe cattive notizie... Per stuzzicarlo, ho chiesto a Clint perché non votasse per Obama. Era sbalordito. Per lui era così ovvio... Ha raccolto le idee e mi ha detto: “Un tipo che è contrario al porto d'armi può essere buono?”. Cowboy, no? Si può parlare di ideologia e visione del mondo. Del resto, la maggior parte degli ufficiali delle forze speciali americane sono texani, come i Cannon... Che ne è stato del sogno americano? Più sembra spegnersi, più continua a brillare. I padri falliscono, i figli prendono il testimone e, come Clint, a volte vincono. Vincere o perdere non è la cosa più importante. Bisogna crederci, esserci, partecipare a questa folle corsa al successo redentore che ogni stagione di rodeo travolge centinaia di giovani bianchi, poveri e reazionari che sono i cowboy di questo inizio XXI secolo... È un sogno potente. Non affascina più al di fuori degli Stati Uniti, ma rimane un motore essenziale della vita politica. Obama, Clinton, Reagan (l'eroe dei Cannon), Bush, Trump: tutti continuano a farvi riferimento. L'America dei Cannon non è più quella di John Houston? Come dicono i cowboy: "There’s always another rodéo". THE END

  • Une vie par le menu | Frédéric Laffont | Camera Magica

    "C’est par la plume poétique de Frédéric Laffont que l’on découvre l’histoire d’un des personnages les plus illustres, mais certainement aussi l’un des plus discrets de la gastronomie française. L’histoire d’un homme singulier, et la vie d’un grand chef dont les mots sont si rares que l’on s’en délecte ici. " Una vita secondo il menù Edizioni L'Iconoclaste, 2021 Premio Letteratura Passione, 2022 Il bambino era selvaggio, l'uomo incarna l'eccellenza della gastronomia francese. A L'Ambroisie, il suo ristorante tre stelle Michelin da oltre trent'anni, Bernard Pacaud perfeziona i suoi piatti leggendari per pranzo e cena. Un fagottino al tartufo che trasmette buon umore, un pollo di Bresse in lutto, una sottile crostata di pasta frolla al cacao amaro... Come i funghi che ama, lo chef preferisce l'ombra alla luce. Per dieci anni, Frédéric Laffont ha raccolto le sue rare parole e, con uno stile cesellato, ricrea un destino, incontri con esseri straordinari, una ricerca infinita della perfezione. Una vita, un secolo di storia culinaria, in cui incontriamo Mère Brazier, Jacques Lacan, Barak Obama, François Truffaut, Calamity Jane e gli Absente. Libération : " Una biografia intensa. Un racconto emozionante, scritto da Frédéric Laffont. La penna intensa di questo grande reporter e documentarista, vincitore del premio Albert-Londres 1987 per la sua copertura della guerra in Libano, dà del tu al chef, suo amico da trent'anni. " Le Figaro : " Una biografia straordinaria. Questo libro non assomiglia alle solite agiografie culinarie, l'autore si rivolge al suo soggetto come se gli rivelasse la propria storia per attenuarne i momenti dolorosi, il padre sconosciuto, la madre troppo assente." France Inter, Nicolas Demorand : " È la biografia di un uomo pudico che rifiuta la ribalta. La sua cucina parla per lui. Il lavoro ossessivo. L'ascetismo. Il silenzio. Una poesia." Sud Radio : " Eccellente!" Politis : " Una forma letteraria originale per tracciare il ritratto di un cuoco fuori dal comune. La quintessenza dell'arte culinaria." Télérama : " Assaggiamo questo libro!" Bottin Gourmand : " Un libro straordinario che si distingue da tutto ciò che conosciamo della letteratura culinaria tradizionale." L’Opinion : « Un libro che mi ha lasciato senza fiato, che ho letto tutto d'un fiato, pensando quasi ad ogni pagina che sono davvero fortunato a conoscere un po' Danièle e lui, e ad amarli. Credo che Honoré Balzac abbia scritto: «Non si ama bene o molto. Si ama o non si ama». Io amo. » Gilles Pudlowski : « L'ode a Bernard Pacaud. Una brillante testimonianza che rende omaggio a uno dei grandi chef dell'epoca. » Gastronomie : « Colpo di fulmine. È grazie alla penna poetica di Frédéric Laffont che scopriamo la storia di uno dei personaggi più illustri, ma sicuramente anche uno dei più discreti della gastronomia francese. La storia di un uomo singolare e la vita di un grande chef le cui parole sono così rare che qui ne godiamo appieno. » L’Hôtellerie : « Un racconto forte e commovente fino all'ultima riga. »

  • Mille et un jours Mille et une nuits | Frédéric Laffont | Camera Magica

    "Frédéric Laffont a pieusement recueilli ce qu’il appelle des « poussières de paix », petites histoires douces-amères qui font croire le temps du récit que tout n’est pas définitivement saccagé sur cette terre appelée «Sainte »." Mille e una notte, mille e una giornata Edizioni Arléa, 2004 Lettura di Rachida Brakni alla Comédie-Française Cosa posso dirti? La pietra, il carro, gli ulivi che vengono tagliati? Certo che ve lo racconterò... Vi racconterò anche storie, volti e speranze: mille e una strada che porterà alla pace. Un giorno. La notte splende per un attimo, poi torna giorno. Le Figaro: "Frédéric Laffont, grande reporter abituato ai conflitti, si è fatto da parte. Incarna così Questo "campo di pace" che si dice sia incruento. Dà una lezione di umanità più che di storia. France Inter, L'Humeur Vagabonde: "Un tema particolarmente caldo, sul quale è molto difficile per far sentire altre voci rispetto a quelle delle certezze odiose e delle semplificazioni di parte (…). Frédéric Laffont ha collezionato con devozione quella che lui chiama "polvere di pace", piccole storie note agrodolci che ci fanno credere, per tutta la durata del racconto, che non tutto è definitivamente distrutto su questa terra chiamata "Sacra". Un racconto poetico, un documento preciso, una finzione onirica, in ogni caso un film e un libro inclassificabili. Télérama: “Frédéric Laffont, autore di documentari straordinari, è un narratore esperto (…). Questi diari di guerra, scritti in prima persona e narrati da una voce femminile, sono un inno sensibile alla sopravvivenza e alla pace. Percorrono strade secondarie, ascoltano le persone, cercano ragioni per sperare. Il modo migliore per camminare, in breve.

  • Liban, des guerres et des hommes | Frédéric Laffont | Camera Magica

    "Le magnifique travail de Frédéric Laffont sur l’interminable guerre du Liban (1975-1990) nous permet de regarder un documentaire hors du commun. Il fera date. Laffont lui a consacré plusieurs années de sa vie. Le film en trois parties qui en résulte ne ressemble à aucun autre. Il prouve que la télévision peut montrer l’invisible. (…) J’y vois la réussite prodigieuse de ce film." Le Nouvel Observateur Libano, guerre e uomini FIPA e SCAM Star 2014 TéléObs : “Un cineasta raro”. Le Nouvel Observateur : " Il magnifico lavoro di Frédéric Laffont sull'interminabile guerra del Libano (1975-1990) ci permette di guardare un documentario fuori dal comune. Sarà un punto di riferimento. Laffont gli ha dedicato diversi anni della sua vita. Il film in tre parti che ne è risultato non assomiglia a nessun altro. Dimostra che la televisione può mostrare l'invisibile. (...) È proprio questo invisibile che Laffont è riuscito a cogliere, a filmare, a farci toccare con mano. È questo che considero il prodigioso successo di questo film." Télé Star : "Commovente e affascinante." Le Monde : "Un film straordinario che si immerge nell'intimo e in cui si legge tutto l'attaccamento umanistico di un uomo per un paese logorato da anni di sanguinose divisioni." AFP : "Un documentario brillante". Le Pélerin : "Esperto del Medio Oriente, Frédéric Laffont ha messo da parte politici e specialisti per privilegiare la parola ‘ordinaria’, quella umana. Un grande documentario." La Croix : "Per tre anni, Frédéric Laffont ha raccolto la memoria dei libanesi. La sua straordinaria serie di documentari vuole essere un messaggio di pace e speranza. Il desiderio di restituire ai libanesi la parola che è stata loro confiscata è al centro della serie documentaria in tre parti di Frédéric Laffont. Senza analisi né commenti fuori campo, questo mosaico di un popolo lacerato dalla guerra acquista una dimensione universale." Ouest-France : “Ecco un grande film, nella forma e nella sostanza. Non è il racconto cronologico del Libano dal 1975, ma lo sguardo di cristiani, musulmani, librai, tassisti, uomini d'affari...” Télérama, a proposito del terzo episodio: “Frédéric Laffont conclude il suo affresco libanese raccogliendo ancora una volta questi frammenti soggettivi, che dialogano tra loro per abbozzare una Storia ancora rifiutata dallo Stato. Quest'ultimo capitolo è di incredibile forza, una vera opera di pace in cui coloro che hanno impugnato le armi, siano essi combattenti palestinesi, miliziani sciiti o dignitari delle Forze Libanesi, gridano l'inutilità della guerra. E riconoscono tutti di aver perso.” Film di Frédéric Laffont A cura di Catherine Rascon Durata: 3 X 52' © Artline films, Camera Magica, INA, 2012 LIBANO DI GUERRE E UOMINI 1/3 EPISODIO 1. 1975 - 1982 Questo primo capitolo copre un periodo di sette anni di guerre consecutive, dall'aprile 1975 al bombardamento di Beirut da parte dell'esercito israeliano nel 1982. Una raccolta di testimonianze compone il film, come un mosaico frammentato che rivela la complessità del conflitto. LIBANO DI GUERRE E UOMINI 2/3 EPISODIO 2. 1982-1990 Questo secondo episodio si concentra sul periodo più duro dei conflitti successivi che hanno devastato il Libano, dall'invasione di Beirut da parte dell'esercito israeliano nel 1982 all'accordo di fine della guerra firmato nel 1989. Le testimonianze si concentrano in particolare sull'orrore dei combattimenti fratricidi. LIBANO DI GUERRE E UOMINI 3/3 EPISODIO 3. 1990-2012 Questo capitolo finale è dedicato al periodo di ricostruzione e di pace fragile, tra il 1990 e il 2012. Le cicatrici della guerra sono ancora chiaramente visibili.

  • Couleur Café | Frédéric Laffont | Camera Magica

    Un documentaire de Frédéric Laffont sur l'initiative de l'ONG Naandi (Inde) qui a mis au point « La méthode Araku », une approche intégrée pour agir conjointement sur l’agriculture, l’éducation et le lien social. La première boutique « Araku Coffee » a ouvert à Paris début 2017. Colore del caffè "Dopo due giorni di viaggio senza fine, una strada che sembra finire come se fosse la fine del mondo, ancora una volta... Bandiere con la falce e il martello della guerriglia maoista sventolano su alcuni tetti di questi villaggi tagliati fuori dal mondo e dal secolo. Lenta salita sulla montagna verso le piantagioni di caffè. Il capo del villaggio apre la marcia della nostra piccola spedizione e si ferma rapidamente davanti a una “magnifica” cacca d'orso, lucida e fresca. Le nostre strade si sono appena incrociate. L'agronomo neozelandese è preoccupato. Il capo del villaggio si arma di un bastone; riprendiamo la nostra marcia. Già 1500 metri e si continua a salire. La leggera telecamera diventa rapidamente pesante con l'altitudine. La foresta è fitta e imponente. A volte dobbiamo strisciare sotto le piante di caffè. Penso in silenzio che potrei trovarmi faccia a faccia con l'orso. Taccio. L'agronomo esprime ad alta voce la stessa preoccupazione. Il capo del villaggio vuole rassicurarci, alza il suo ridicolo bastone e si esprime in telugu: «Grazie al nostro lavoro, la foresta sta rinascendo. Gli orsi sono tornati. Non si deve camminare da queste parti dopo le 17. La mattina, tra le 5 e le 9, è vietato ai villaggi». Sono le 9:20 e spero che l'orologio dell'orso sia puntuale. Una giornata di cammino. Primi piani. Tutto è più bello, più complesso e anche più duro di quanto immaginassi. Sono accolto come un principe. Per cena: riso grasso e due banane. Un po' di 4G, a volte, grazie al cellulare dei miei amici indiani. La lunga marcia riprenderà domani sotto le piante di caffè, senza Mao! La notte è fresca e vado a cercare il mio sacco a pelo." Frédéric versione inglese A cura di Barbara Bossuet Durata: 7' © Fondi per i Mezzi di Sostegno, Camera Magica, 2020 Le tribù Adivasi della regione dell'Andhra Pradesh sono tra le comunità più povere dell'India. La ONG indiana Naandi ha sviluppato "Il Metodo Araku", un approccio integrato per affrontare congiuntamente agricoltura, istruzione e relazioni sociali. Questo ha permesso agli Adivasi di diversificare le loro colture con 18 varietà di alberi da frutto per rafforzare la loro sicurezza alimentare e generare nuovo reddito dalla vendita delle eccedenze. Con milioni di alberi di caffè ripiantati, producono caffè di alta qualità con metodi biologici. La prima boutique "Araku Coffee" ha aperto a Parigi all'inizio del 2017.

  • À corps, À cœur, À cris | Frédéric Laffont | Camera Magica

    Médecins Sans Frontières, 20 ans déjà en 1991. Avec la voix de Michel Piccoli. Cuore a cuore, Corpo a corpo, Pianto al cuore Premio al Festival Internazionale di Monte-Carlo, 1992 Il mondo: "Il rapporto di Christophe de Ponfilly e Frédéric Laffont è esemplare perché svela l'organizzazione umanitaria in tutta la sua complessità, perfino nella sua ambiguità, senza imporre un punto di vista e senza infrangere la dimensione essenziale del sogno. Questo è il loro trentacinquesimo film e il più importante dai tempi di Poussières de guerre (sulla guerra in Afghanistan). Nel 1990, dopo sei mesi di preparazione, Frédéric Laffont lasciò Parigi per la Cambogia e Christophe de Ponfilly volò in Sri Lanka. Venti mesi dopo e dodici paesi dopo, tornarono con centoventi ore di pellicola in magazzino, che dovettero essere ridotte a tre. Il loro credo? Prendersi il tempo necessario. "Lasciate che le persone si esprimano filmando i loro silenzi tanto quanto le loro parole", afferma Frédéric Laffont. "Ma dopo tre settimane di riprese, a volte ne rimangono solo trenta secondi!" Una raccolta di 3 x 52 minuti Film co-scritti e co-diretti di Frédéric Laffont e Christophe de Ponfilly Montaggio: Jean-François Giré Durata: 1h46' © FR3, Gaumont Robur Télévision Multimédia, BRT, TSR, Interscoop, 1991 Versione inglese: MEDICI IN PRIMA LINEA Medici Senza Frontiere, 20 anni già nel 1991. NEL CUORE: impegno. AL CORPO: il campo delle operazioni. PIANGERE: domande e indignazione. Con la voce di Michel Piccoli. Ricordo di aver citato Bergson all'inizio delle intenzioni di realizzazione: "Agisci come un uomo di pensiero. Pensa come un uomo d'azione". Due anni di riprese, poi una lunga collaborazione personale con MSF. Sono diventato membro del Consiglio di Amministrazione per sei anni. Ho incontrato le persone più meravigliose della mia vita.

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