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  • Maudits soient les yeux fermés | Frédéric Laffont | Camera Magica

    Rwanda. Des mois après les massacres, l’herbe a repoussé. Sur un charnier, les restes d’un écolier reposent près de son manuel de lecture resté ouvert sur un extrait du Roman de Renart : "Maudits soient les yeux qui se ferment quand ils doivent rester ouverts..." Maudits soient les yeux fermés Editions JC Lattès & Arte, 1995 Co-écrit avec Françoise Bouchet-Saulnier, docteur en droit, responsable juridique de Médecins Sans Frontières. Rwanda. Des mois après les massacres, l’herbe a repoussé. Sur un charnier, les restes d’un écolier reposent près de son manuel de lecture resté ouvert sur un extrait du Roman de Renart : "Maudits soient les yeux qui se ferment quand ils doivent rester ouverts..." Plus jamais ça ! En dépit de cette promesse solennelle, cinquante ans après les camps de la mort nazis : un autre génocide extermine des êtres humains pour ce qu’ils sont. Leur unique « faute » : être nés tutsis comme d’autres sont nés juifs, tziganes ou arméniens. Qui rendra justice ? Sur les charniers et dans les organismes internationaux, une litanie de promesses sans lendemain tient lieu d’hommage funèbre. Seules des personnes isolées tentent d’établir les faits, d’écrire l’histoire. Parmi ces grains de sable censés enrayer la machine à silence : Françoise, Joseph et François-Xavier. Juriste européenne, militant rwandais des droits de l’homme et Procureur de la République de Kigali, ils racontent leur quête de justice. Ce livre est le fruit d’une année d’engagement, d’enquête à travers le monde. Une réflexion forgée au contact des réalités du terrain et des hommes. Cette histoire résonne bien au-delà des mille collines du Rwanda... Pour que la parole augurale du ''Plus jamais ça'' ne soit plus un mensonge adressé aux générations futures. La Vie : “Un pavé dans la mare, aux ondes de choc infinies.”

  • Poussières de guerre | Frédéric Laffont | Camera Magica

    Cette passionnante enquête nous entraîne en URSS, au Pakistan, à Kaboul et clandestinement dans les provinces d’Afghanistan. Poussières de guerre Editions Robert Laffont, 1985 Co-écrit avec Christophe de Ponfilly, Prix Albert Londres 1985. Quand passe le chant des armes, vient le temps des larmes. Les guerres traversent l'histoire comme des tourbillons. Pour les Soviétiques, celle d'Afghanistan aura duré dix ans, pour les Afghans, elle perdure. Par delà l'événement, ce livre raconte la terrible histoire des hommes plongés dans la guerre. Dans un camp comme dans l'autre, les combattants et leurs proches se confient aux grands reporters, tous deux Prix Albert Londres. Au fil de leurs rencontres, Ponfilly et Laffont brossent une vaste fresque sur l'absurde où se croisent les regards d'hommes qui se sont entretués sans jamais se connaître. Cette passionnante aventure nous entraîne en URSS, au Pakistan, à Kaboul et clandestinement dans les provinces d’Afghanistan. Un an d'enquête pour un document exceptionnel. Le Monde : "Un réquisitoire implacable contre l’obscénité de la guerre." VSD : “Un travail magnifique. L’esprit du grand reportage à l’état pur.” Le Figaro : “Christophe de Ponfilly et Frédéric Laffont ont traqué, dans les deux camps, les stigmates de l’absurde conflit soviéto-afghan. Redoutable exercice, admirable résultat.”

  • Politique de confidentialité – Camera Magica | Frédéric Laffont

    Découvrez comment Camera Magica traite et protège vos données personnelles conformément au RGPD. Charte de confidentialité Charte de confidentialité. La protection des données est essentielle pour notre studio de cinéma. Cette charte contient des exemples de texte et ne peut être copiée telle quelle. La personnalisation de votre charte de confidentialité est nécessaire pour refléter les fonctionnalités spécifiques de votre site. Votre charte de confidentialité doit répertorier tous les composants externes que vous utilisez sur votre site. Le lien vers votre charte de confidentialité doit être facilement accessible sur toutes les pages de votre site. Exemple de contenu : Les données que nous collectons. Comment nous collectons les données. Pourquoi nous collectons les données. Avec qui nous partageons les données. Où sont stockées les données. Durée de conservation des données. Comment nous protégeons les données. Modifications ou mises à jour de la Charte de confidentialité. Cliquez ici pour des informations plus détaillées sur la formulation de votre charte de confidentialité.

  • La vie devant nous | Frédéric Laffont | Camera Magica

    C'est une histoire de France, méconnue, et celle de ses enfants. C’est aussi une histoire de l’immigration. L'arrivée dans le Nord et la Lorraine de 80.000 mineurs marocains. Frédéric Laffont nous invite à la nuance à travers un récit où se mêlent monde du travail, mémoire, dignité et rêves accomplis. La vie devant nous FIPADOC 2022 La Croix : "A rebours des débats identitaires empoisonnés, ce film dessine tout en nuances une histoire de France et de l’immigration." Télérama TTT : "J’ai rarement entendu une parole humaine d’une telle intensité" dit Frédéric Laffont. Leur courage, leur abnégation et leur dignité méritent d’être entendus." L’Humanité : "Un pan peu connu de l’histoire industrielle mis enfin en lumière." Un film de Frédéric Laffont Co-auteurs Ariane Chemin Mariame Tighanimine Frédéric Laffont Montage Catherine Rascon Durée: 52' © Arte, Bellota Films, Camera Magica, 2022 Dans les années 1960 et 70, Félix Mora sillonne le sud du Maroc à la recherche de muscles pour fermer, à bas coût, les mines de France. Mora aurait ainsi recruté plus de 80.000 mineurs pour le Nord et la Lorraine. Les mineurs d’hier ont donné naissance à plus de 600 000 Français. C’est une histoire de France, méconnue, et celle de ses enfants. C’est aussi une histoire de l’immigration. LA VIE DEVANT NOUS est un film au présent. Un antidote aux poisons identitaires de l’époque. Une invitation à la nuance à travers un récit où se mêlent monde du travail, mémoire, dignité et rêves accomplis. Un film comme un chant mythologique.

  • Cowboys don't cry | Frédéric Laffont | Camera Magica

    “Le réalisateur Frédéric Laffont connaît Clint depuis six ans. Avec lui, il a parcouru des milliers de kilomètres en voiture. De ce compagnonnage, il nous rapporte un documentaire émouvant sur un père et ses trois fils qui, soudés comme un seul homme, tentent de prendre leur revanche sur la misère. Il filme une Amérique profonde qui en bave, et la vie d'un jeune Texan - loin du mythe du cow-boy - qui a presque tout perdu pour une finale, gage d'un futur meilleur.” Cowboys don't cry Le Monde : “Le réalisateur Frédéric Laffont connaît Clint depuis six ans. Avec lui, il a parcouru des milliers de kilomètres en voiture. De ce compagnonnage, il nous rapporte un documentaire émouvant sur un père et ses trois fils qui, soudés comme un seul homme, tentent de prendre leur revanche sur la misère. Il filme une Amérique profonde qui en bave, et la vie d'un jeune Texan - loin du mythe du cow-boy - qui a presque tout perdu (sa fiancée, sa santé et ses derniers dollars), pour une finale, gage d'un futur meilleur.” Un film de Frédéric Laffont Montage Catherine Rascon Durée: 1h28' © Camera Magica, Les Films d'ici - 2014 Entretien avec Frédéric Laffont, par Billy the Kid. Billy the Kid : « Le père, le fils, et le Saint-Esprit ? » Les rêves du père dans le corps du fils. C’est une définition de la tragédie pour les Grecs. Chez les Cannon, heureusement, pour survivre aux épreuves, on rit de tout. Le père évoque la chute d’Icare. Il sait qu’on peut mourir de trop vouloir s’approcher du soleil, mais il ne cesse de vouloir le toucher... Clint, lui, ressemble au Sisyphe d’Homère qui fait rouler, indéfiniment, son énorme pierre jusqu’au sommet inaccessible de la montagne. Clint va de rodéo en rodéo. Il n’est pas esclave du rêve de son père. Il s’en libère peu à peu... Pas de Saint-Esprit mais beaucoup de transcendance ! Un western du XXIème siècle ? Les Cannon ne connaissent ni les classiques du western et ni ceux de la littérature américaine mais leur imaginaire a été façonné par le mythe de l’Ouest. Ils ont le sentiment d’être les derniers des hommes libres mais que leur espace ne cesse de rétrécir. C’est l’un des grands thèmes du western. Comme dit Clint : “Le monde entier sait que l’Amérique a été faite par les cow-boys. On ne va pas la laisser mourir.” Être un cow-boy en ce début du XXIème siècle, c’est affronter les miles dans une voiture climatisée, la solitude et l’ennui sur des parkings, mais c’est aussi, pour Clint, défendre une certaine idée de la patrie. Ils croient au rêve américain, ils l’incarnent. À quoi rêvent les cowboys ? "Au bout de la route, il y a un ranch. Notre ranch." C’est la dernière réplique de Clark Gable à Marilyn Monroe dans Les Misfits de Jonh Houston(1961). Plus de 50 ans plus tard, ce rêve n’a pas pris une ride. Dans l’imaginaire des cow-boys, le ranch se définit par l’absence de voisin, une terre vierge comme l’était l’Ouest dans la mythologie hollywoodienne. Vivre loin de la ville, près de la nature, entre cow-boys, avec des chiens, des chevaux et des vaches aussi... Un monde aussi mythique qu’irréel où les cow-boys pourront vivre en accord avec leurs valeurs. Quelles sont ces valeurs ? Valeurs d’entraide, code d’honneur et de politesse. Comme dans les films ! On aide toujours son prochain, surtout si c’est un cowboy. On héberge chez soi, on nourrit, on trouve du boulot à un concurrent blessé ou fauché qui a échoué au Texas... On s’arrête de nuit pour protéger une femme seule tombée en panne sur une route déserte du Névada. On donne ses derniers dollars à plus pauvre que soi. Jamais pendant toutes ces années de tournage je n’ai pris les Cannon à défaut sur leurs valeurs chevaleresques. Quelle est leur vision du monde ? Binaire. Le Bien, le mal. Good ou bad guy. Avec ou contre nous. Clint était déçu de découvrir le New York Times sur la banquette de ma voiture. Pour lui, c’est un peu la Pravda. Les Cannon ne lisent pas le très conservateur Houston Chronicle, ils trouvent qu’il y a trop de mauvaises nouvelles... Pour le charrier, j’ai demandé à Clint pourquoi il ne votait pas pour Obama ? Il était soufflé. C’était tellement évident pour lui... Il a rassemblé ses esprits et il m’a dit : "Est-ce qu’un type qui est contre le port des armes peut être bon ? " . Cow-boy, non ? On peut parler d’idéologie et de vision du monde. D’ailleurs, la plupart des officiers des forces spéciales américaines sont des Texans, comme les Cannon... Quid du rêve américain ? Plus il semble s’éteindre, plus il continue de briller. Les pères ratent, les fils prennent le relai et, comme Clint, gagnent, parfois. Gagner ou perdre n’est pas le plus important. Il faut y croire, en être, participer à cette course folle au succès rédempteur qui fracasse chaque saison de rodéo des centaines de jeunes blancs, pauvres et réac que sont les cowboys de ce début de XXIème siècle... C’est un rêve puissant. Il ne fascine plus en dehors des Etats-Unis, mais il reste un moteur essentiel de la vie politique. Obama, Clinton, Reagan (le héros des Cannon), Bush, Trump : tous ne cessent de s’y référer. L’Amérique des Canon n’est plus celle de John Houston ? Comme disent les cowboys : "There’s always another rodéo". THE END

  • Palerme | Frédéric Laffont | Camera Magica

    "Dans Palerme, portrait d'une séductrice, Frédéric Laffont est allé à la rencontre des Palermitains. Avec sa caméra dont il se sert comme d'un stylo, il raconte, à la première personne, ses rencontres, en nous livrant ses impressions et ses émotions." Palerme Collection Voyages, voyages d’Arte Le Monde : "Dans Palerme, portrait d'une séductrice, Frédéric Laffont est allé à la rencontre des Palermitains. Le réalisateur nous entraîne à travers les ruelles et dans les palais de la ville. Avec sa caméra dont il se sert comme d'un stylo, il raconte, à la première personne, ses rencontres, en nous livrant ses impressions et ses émotions." Un film de Frédéric Laffont Montage Jean-François Giré Durée: 42' © La Sept Arte, Interscoop, 1998

  • Poussières de guerre | Frédéric Laffont | Camera Magica

    Tournages clandestins en Afghanistan, en URSS, à Kaboul… pour un film en deux épisodes de Frédéric Laffont et Christophe de Ponfilly. Poussières de guerre Aigle d'or du Festival International d'histoire de Rueil, 1990 Grand Prix Festival international de Journalisme d’Angers, 1990 VSD : “Un travail magnifique. L’esprit du grand reportage à l’état pur.” Le Figaro : “Christophe de Ponfilly et Frédéric Laffont ont traqué, dans les deux camps, les stigmates de l’absurde conflit soviéto-afghan. Redoutable exercice, admirable résultat.” Les uns, les Soviétiques, font leur "devoir internationaliste". Les autres, les Moudjahidines afghans, se battent pour la liberté, contre des hommes "jaunes aux cheveux bleus, sans beauté". Tournages clandestins en Afghanistan, en URSS, à Kaboul… pour un film en deux épisodes. 1. Le chant des armes Des films de Frédéric Laffont et Christophe de Ponfilly Montage. Jean-François Giré Durée: 2 x 52' © FR3, La Sept, TSR, Interscoop, 1990 2. Le temps des larmes

  • Conditions d’utilisation | Camera Magica | Frédéric Laffont

    Frédéric Lafont, filmographie, documentaire, livre, grand reportage, grand reporter, Prix Albert Londres, film Charte éditoriale Notre charte éditoriale est un guide pour la création de contenus au sein de Camera Magica. Elle vise à assurer la qualité, l'originalité et l'authenticité de nos productions. En tant que studio de cinéma, nous nous engageons à respecter les normes éthiques et professionnelles de l'industrie cinématographique. Notre charte éditoriale comprend des directives sur la narration, la représentation des sujets, l'équité, la diversité et l'inclusion. Nous encourageons nos équipes à s'engager dans une démarche de création responsable et à donner voix à ceux qui sont moins entendus. Pour plus de détails sur notre charte éditoriale, veuillez consulter notre guide complet.

  • Banlieue Olympique | Frédéric Laffont | Camera Magica

    "Un film enthousiasmant signé Frédéric Laffont. En quête de personnages qui bataillent pour tisser du lien social et améliorer la vie des gens, le réalisateur s'est arrêté à Noisy-le-Sec. Un documentaire gai, porteur d'espoir, filmé et commenté avec sensibilité." Banlieue olympique Libération : " On ne remerciera donc jamais assez Frédéric Laffont, qui réalise ce beau numéro d'Aux petits bonheurs la France, de s'effacer derrière l'humanité de ceux qu'il filme et de ne pas brader leur singularité pour en faire d'imbéciles portes-drapeaux. De l'efficacité du contre-pied.” Le Monde : " Un film enthousiasmant signé Frédéric Laffont. En quête de personnages qui bataillent pour tisser du lien social et améliorer la vie des gens, le réalisateur s'est arrêté à Noisy-le-Sec. Un documentaire gai, porteur d'espoir, filmé et commenté avec sensibilité." Un film de Frédéric Laffont Montage Jean-François Giré Durée: 52' © France3, Interscoop, 1998 Une équipe de foot. De semaine en semaine, l'Olympique répète ce que certains n'hésitent pas à qualifier d'exploit : elle gagne bien plus qu'elle ne perd. Elle joue les premiers rôles dans un championnat qui n'est pas fait pour elle. Les victoires de l'Olympique dessinent d'autres horizons pour la banlieue.

  • Mesure et démesure | Frédéric Laffont | Camera Magica

    Sur les sommets enneigés du Jura suisse, les horlogers sont aujourd’hui le fer de lance d’une industrie fructueuse. Dans les manufactures de Parmigiani, Frédéric Laffont filme au plus près de l’intelligence de la main. Mesure et démesure Un film de Frédéric Laffont Durée: 54' Montage Catherine Rascon © Sandoz Family Foundation, 2013 Les sommets enneigés du Jura suisse et l’exigence du centième de millimètre. Un temps menacés de disparition, les horlogers sont aujourd’hui le fer de lance d’une industrie fructueuse. Dans les manufactures de Parmigiani, au plus près de l’intelligence de la main.

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