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- Couleur Café | Frédéric Laffont | Camera Magica
Un documentaire de Frédéric Laffont sur l'initiative de l'ONG Naandi (Inde) qui a mis au point « La méthode Araku », une approche intégrée pour agir conjointement sur l’agriculture, l’éducation et le lien social. La première boutique « Araku Coffee » a ouvert à Paris début 2017. Couleur Café "Après deux jours d’un voyage sans fin, une fin de route comme un bout du monde, un de plus… Des drapeaux avec la faucille et le marteau de la guérilla maoïste flottent sur quelques toits de ces villages coupés du monde et du siècle. Lente ascension de la montagne vers les caféiers. Le chef du village ouvre la marche de notre petite équipée et marque rapidement un arrêt devant une « magnifique » crotte d’ours, luisante et fraîche. Nos chemins viennent de se croiser. L’agronome néo-zélandais s’inquiète. Le chef du village s’arme d’un bâton ; on reprend notre marche. Déjà 1500 mètres et ça grimpe encore. La caméra légère prend vite du poids avec l’altitude. La forêt est dense et puissante. On doit parfois ramper sous les caféiers. Je pense en silence que je pourrais me retrouver nez-à-nez avec l’ours. Je me tais. L’agronome exprime à haute-voix la même inquiétude. Le chef du village se veut rassurant, il lève son bâton dérisoire et s’exprime en Telugu : « Grâce à notre travail, la forêt renaît. Les ours sont de retour. On ne doit pas marcher par ici après 17h. Le matin, entre 5h et 9h, c’est interdit aux villageois.» Il est 9h20, et j'espère que la montre de l’ours est à l’heure. Une journée de marche. Premiers plans. Tout est plus beau, plus complexe et plus rude aussi que ce que j’imaginais. Je suis reçu comme un prince. Pour le dîner : un riz gras et deux bananes. Un filet de 4G, parfois, grâce au portable des copains indiens. La Longue marche reprendra demain sous les caféiers, sans Mao ! La nuit est fraîche et je vais retrouver mon sac de couchage." Frédéric english version Montage Barbara Bossuet Durée: 7' © Livelihoods Funds, Camera Magica, 2020 Les tribus Adivasi de la région d’Andra Pradesh figurent parmi les communautés les plus pauvres de l’Inde. L’ONG indienne Naandi a ainsi mis au point « La méthode Araku », une approche intégrée pour agir conjointement sur l’agriculture, l’éducation et le lien social. Les Adivasi ont ainsi pu diversifier leurs cultures avec 18 variétés d’arbres fruitiers pour renforcer leur sécurité alimentaire et générer de nouveaux revenus avec la vente des surplus. Avec les millions de caféiers replantés, ils produisent un café de grande qualité avec des méthodes biologiques. La première boutique « Araku Coffee » a ouvert à Paris début 2017.
- Fugues américaines | Frédéric Laffont | Camera Magica
"Ce documentaire de Frédéric Laffont, dernier volet de la série Fugues américaines, ne laisse qu'un regret: ne pas pouvoir s'envoler dans la minute et rejoindre Eunice, au coeur du pays cajun.” Fugues américaines Prix du jury du Festival de Saulieu, 1996 Libération : “Images somptueuses de la plaine de Louisiane ou du bayou, personnages très attachants, ce documentaire de Frédéric Laffont, dernier volet de la série Fugues américaines, ne laisse qu'un regret: ne pas pouvoir s'envoler dans la minute et rejoindre Eunice, au coeur du pays cajun.” Montage Jean-François Giré Durée: 52'34" © France 3, Interscoop, 1996 Eunice, Louisiane, en terre Cajun. Depuis des décennies, chaque samedi, Marc et Ann Savoy ouvrent les portes de leur boutique d'accordéons diatoniques pour la ''Jam session''. Violonistes, accordéonistes, guitaristes, hommes et femmes, jeunes et vieux, maestros et débutants : chacun communie, en français, au rythme du répertoire de la Louisiane. On mange de la saucisse, on boit de la bière ou du bon vin, on chante encore… Les Cajuns chantent leur identité.
- Dieu, poste restante, Jerusalem | Frédéric Laffont | Camera Magica
Un documentaire de Frédéric Laffont. Au plus près des hommes, des Israéliens, des Palestiniens, et parfois de Dieu, par le courrier. Dieu, poste restante, Jerusalem Un film de Frédéric Laffont Montage Jean-François Giré Durée: 50' © Interscoop, France 3, Tele-Europe, 1993 La Croix : "On retrouve dans cette production de Frédéric Laffont pour Zanzibar, une démarche semblable à celle de son film «Beyrouth, des balles et des ballons», Nymphe d’Or au Festival de Monte Carlo, la même sensible approche de l’homme jeté dans l’histoire, la même justesse de ton pour maîtriser une réalité complexe." Avec les facteurs de Jérusalem, d'une adresse à une autre, d'un quartier à l'autre, d'un monde à un autre monde. Lettres des cousins d'Amérique pour les uns, lettres de prison pour d'autres, lettres d'amour aussi... Quelques missives sont directement adressées à "Dieu, Poste restante, Jérusalem". Au plus près des hommes, des Israéliens, des Palestiniens, et parfois de Dieu, par le courrier.
- Le Menu | Frédéric Laffont | Camera Magica
"Savoureux voyage dans une France du bon goût et du bon sens. A partir du menu d'un grand restaurant parisien, Frédéric Laffont nous entraine dans un tour de France inhabituel. A chaque étape, une rencontre avec un produit, un homme et le lien qui les unit l'un à l'autre. Tous aiment les vraies choses, le vrai goût. Merveilleux rapport à la nature et à une passion." Le Menu Libération : "Le Menu est un tour de France épicurien qui met l'eau à la bouche. C'est un petit Festin de Babette qu'a préparé Frédéric Laffont, en allant chercher les bonshommes derrière la chère fraîche." Le Monde : "Savoureux voyage dans une France du bon goût et du bon sens. A partir du menu d'un grand restaurant parisien, le réalisateur nous entraine dans un tour de France inhabituel. A chaque étape, une rencontre avec un produit, un homme et le lien qui les unit l'un à l'autre. Tous aiment les vraies choses, le vrai goût. Merveilleux rapport à la nature et à une passion. Un document qui revigore son homme." English version: THE MENU Montage Jean-François Giré Durée: 59' © France 3, Interscoop, 1994 Une promenade gourmande à travers nos campagnes avec des artisans d’exception, un menu cuisiné par le chef Bernard Pacaud de L’Ambroisie, l’un des meilleurs cuisiniers du monde.
- Nous l’Ukraine | Frédéric Laffont | Camera Magica
Un film documentaire de Frédéric Laffont pour le cinéma. Face à l’ennemi Poutine pour qui les Ukrainiens n’auraient ni identité ni culture, tous se battent. Des enfants et les grands-mères aussi. Nos proches, nos voisins. Nous, l’Ukraine. Nous, l’Europe. Nous l’Ukraine long métrage, 2025 Un film documentaire pour le cinéma. Trois ans de travail depuis l’invasion russe de 2022. Campagne d’impact de Think film, We Ukraine, pour des soutiens européens concrets à la culture ukrainienne. Projections à suivre… Pour résister à la guerre de Poutine, la culture est aussi une ligne de front. Sous la menace incessante de bombardements russes : on danse et chante en défiant les alarmes, on joue au théâtre dans un abri antiatomique, on publie des livres malgré des pénuries de papier, on peint du Street Art près du front, on enregistre de la musique, on inaugure des expositions dans un musée fermé, on y sauvegarde des trésors menacés, on coud sans fin du camouflage dans la cave, et en coulisses, on collecte incessamment de l’argent pour fournir drones et des kits de survie aux soldats… Face à l’ennemi pour qui les Ukrainiens n’auraient ni identité ni culture, tous se battent. Des enfants et les grands-mères aussi. Nos proches, nos voisins. Nous, l’Ukraine. Nous, l’Europe. Un film de Frédéric Laffont Produit par Dominique Barneaud Montage Barbara Bossuet Catherine Rascon Durée: 1h23' © Bellota Films, Camera Magica, 2025
- Maudits soient les yeux fermés | Frédéric Laffont | Camera Magica
"Nous sommes en août 1994. Frédéric Laffont, journaliste et réalisateur, vient d'arriver à Kigali pour filmer durant un an la mise en place puis les audiences de cette cour extraordinaire. Maudits soient les yeux fermés... est bien un film sur l'histoire. Mais, précieusement, pour la première fois il raconte l'impalpable : comment on oublie." Maudits soient les yeux fermés Grand Prix Angers, Écran d’Or Montréal 1996 La Vie : "Un pavé dans la mare, aux ondes de choc infinies." Le Monde : "Le film de Frédéric Laffont n'est pas un document sur les massacres : on n'y verra pas une image des atrocités commises entre avril et juillet 1994, selon un plan prémédité au niveau de l'Etat; on n'y entendra pas non plus les témoignages des rescapés. Maudits soient les yeux fermés décrit le combat isolé, impossible, de trois individus acharnés à recueillir les faits, les témoignages, pour que l'Histoire ne soit pas réécrite ensuite et que justice soit faite. Et qui ne rencontrent qu'obstacles ou menaces. Le film de Laffont est comme une trace du silence qui s'étend. Relire Primo Levi." Libération : "Nous sommes en août 1994. Frédéric Laffont, journaliste et réalisateur, vient d'arriver à Kigali pour filmer durant un an la mise en place puis les audiences de cette cour extraordinaire. "Je voulais rapporter l'écriture de l'histoire. En 1945, le procès de Nuremberg et son -Plus jamais ça- ont été les fondements de notre monde actuel". Lorsque le générique de fin apparaît, la caméra revient subitement au Rwanda, sur les lieux du massacre, crânes, os, valises éparpillés. Un choc. En une heure trente, déjà, on ne se souvenait plus. Maudits soient les yeux fermés... est bien un film sur l'histoire. Mais, précieusement, pour la première fois il raconte l'impalpable : comment on oublie." English version: CURSED BE CLOSED EYES Durée: 45' © Interscoop, BBC, 1996 Un film de Frédéric Laffont Montage Jean-François Giré Durée: 54' © Interscoop, La Sept/Arte, 1995 Rwanda, 1994. Un génocide. Comment écrire l'histoire, demander justice ? Trois personnages en quête de justice au Rwanda Par CORINE LESNES Le Monde, le 03 décembre 1995 à 00h00 Directeur de l'agence Interscoop, lauréat du Prix Albert-Londres, auteur de nombreux grands reportages remarqués, Frédéric Laffont ne pouvait probablement éviter cet événement sans précédent dans l'histoire de la deuxième moitié du vingtième siècle : un génocide reconnu par l'ONU. Il s'est attaqué au sujet dès août 1994 et y a travaillé plus d'un an. Un an d'aller-retour Paris-Kigali. Plus quelques voyages annexes : La Haye (où siège le tribunal international), New York (pour un rendez-vous au bureau 3341 de l'ONU), Bruxelles (où se côtoient les opposants hutus et les déçus du nouveau régime tutsi). Le résultat : Rwanda, Maudits soient les yeux fermés, un documentaire de 80 minutes, coproduit par La Sept et Arte et Interscoop; et un livre, Maudits soient les yeux fermés, écrit en collaboration avec Françoise Bouchet-Saulnier, édité par J.-C. Lattès-Arte. Le réalisateur a choisi de centrer son travail sur le thème de la justice en suivant trois personnages, pareillement attachés à ce que l'Histoire ne se dilue pas dans le pragmatisme de la réconciliation, mais que l'on voit jeter l'éponge, progressivement. Le premier, Joseph Matata, un Hutu, militant des droits de l'homme, se trouvait à l'étranger quand le génocide a commencé. De Kigali à Bruxelles, où il finit par se réfugier pour écrire une pièce de théâtre sur la « tragédie rwandaise» (celle d'hier et d'aujourd'hui), on le voit taper sur sa vieille machine les témoignages des rescapés qu'il a interrogés sur les collines. Un travail qu'il fait pour lui-même autant que pour l'Histoire, car le réalisateur ne cache pas que ces témoignages n'ont aucune valeur juridique pour les instances officielles. Dans son épreuve imposée, Frédéric Laffont a su choisir le ton et la musique qui conviennent aux images de restes humains empilés sans lesquels il semble ne plus y avoir de vision du Rwanda. Mais ses images les plus fortes montrent des vivants, les prisonniers, empilés eux aussi par milliers dans leurs cellules. Elles apparaissent presque au détour du film, comme si le réalisateur lui-même en avait eu un peu peur. Ce sont pourtant les plus saisissantes, les plus gênantes, et certains Rwandais qui ont assisté à la projection en avant-première à Paris ne s'y sont pas trompés. Aussitôt, ils ont dénoncé une manoeuvre « politique», répétant qu'on ne saurait mettre sur le même plan le sort des prisonniers, exécutants présumés du génocide, avec celui qui a été réservé aux Tutsis et aux Hutus progressistes en 1994. Il n'empêche. On disait ici même les prisons surpeuplées et leur visite éprouvante en janvier. Elles comptaient 14 000 détenus. Aujourd'hui, il y en a 59 000. On se demandait comment ils pouvaient s'allonger tous en même temps. Aujourd'hui, ils se marchent littéralement dessus. La caméra de Frédéric Laffont les suit au ras du sol, là où s'enchevêtrent leurs pieds. Parmi les maladies les plus courantes, outre la dysentrie, il y a désormais les lésions des membres inférieurs, les nécroses des orteils. Faute de pouvoir se reposer régulièrement, les jambes souffrent d'oedèmes, qui vont parfois jusqu'à nécessiter l'amputation. Quinze mois après les premières arrestations, aucun détenu n'a été jugé. Alors que l'ONU et le CICR ont aménagé de nouveaux centres de détention, aucun détenu n'y a encore été transféré. Selon Médecins sans frontières, le nombre de morsures humaines est aussi en augmentation dans ces lieux, pour ne pas dire camps de concentration que sont devenues les prisons.
- Anges et démons de la cité | Frédéric Laffont | Camera Magica
"Réalisé avec subtilité et humour, Anges et démons porte sur la banlieue et les gens qui y vivent un regard juste, généreux et sans pitié." Anges et démons de la cité L’Express : "Ce documentaire à l’étrange beauté des premiers films de Pasolini. Le film de Frédéric Laffont est un chef d’oeuvre, qu’on rêverait de voir en salle. Aucun cliché, ici. Frédéric Laffont le prouve : aucun sujet n’est rebattu dès lors que la passion s’en mêle." Le Point : "Frédéric Laffont, l’auteur, signe là un document décapant. Une gifle aux bons sentiments et aux préjugés sécuritaires." Le Monde : “Tourné à la Mare rouge, une cité « à mauvaise réputation» de la banlieue nord du Havre, ce document est une extraordinaire chronique de quartier. Frédéric Laffont a passé deux mois sur place. Il a su gagner la confiance des jeunes qui, en retour, lui livrent des témoignages percutants. Réalisé avec subtilité et humour, Anges et démons porte sur la banlieue et les gens qui y vivent un regard juste, généreux et sans pitié.” Télérama : “On sent du recul dans ce regard franc qui scrute les succès et les échecs d’un œil sensible. Et le film d'apparaître comme un conte de la vie ordinaire, sincère, juste et profondément touchant.” Le Monde (bis) : “Un film sans démagogie, poignant et beau, qui n'a pas été réalisé dans le souci d'inspirer la pitié. Une leçon d'humilité.” Libération : “Cela pourrait être un western ou un film de gangster, avec bandes rivales et lieux sacrés d’affrontement. Frédéric Laffont s’est immergé pendant sept semaines dans une cité du Havre pour en rapporter une histoire où la réalité le dispute au roman. L’air de la banlieue comme rarement… Cru, vécu, et loin d’être triste.” Montage : Jean-François Giré Durée: 1h31' © Interscoop, France 3, 1994 Le Havre, cités de la Mare Rouge, Auchan, des anges et des démons…
- 1$ pour une vie | Frédéric Laffont | Camera Magica
1$ pour 1 vie raconte le combat de chercheurs, de médecins, d'industriels du médicament et d’anonymes qui ont décidé, comme la Fondation DNDi, d'unir leurs forces et de développer des médicaments contre des maladies négligées. Ce qui semblait impossible hier est devenu réalité : des traitements nouveaux arrivent aux bouts des pistes. 1$ pour une vie FIPA 2010 Le Monde : "Exemplaire ! Télérama : "Photographie éblouissante, commentaire très écrit et impliqué, chronique d'une tentative de changer une donne faite de cynisme ou d'indifférence." TéléObs "C'est une aventure humaine exemplaire que nous conte ce documentaire, les images superbes de Frédéric Laffont retracent l'histoire d'une utopie réalisée." L'Humanité Dimanche : "Très bien écrit, ce film de Frédéric Laffont montre avec justesse l'ampleur du désastre" English version: 1$ FOR A LIFE Montage Emmanuelle Pencalet Durée: 1h27' © Interscoop, Cinétévé, Arte, 2010 Cette histoire convoque l’homme le plus riche de la planète et les plus pauvres d’entre nous. Enjeu : sauver des millions de vies humaines. Paludisme, tuberculose, maladie du sommeil, maladie de Chagas, leishmaniose viscérale… Ces maladies touchent un habitant sur six de la planète, soit un milliard de personnes. Combien de millions de personnes en meurent encore chaque année ? On ne sait pas. On ne sait pas compter ceux qui ne comptent pas. 1$ pour 1 vie raconte le combat de chercheurs, de médecins, d'industriels du médicament et d’anonymes qui ont décidé, comme la Fondation DNDi, d'unir leurs forces et de développer des médicaments contre des maladies négligées. Ce qui semblait impossible hier est devenu réalité : des traitements nouveaux arrivent aux bouts des pistes. Longtemps négligés par l'industrie pharmaceutique, les plus démunis peuvent avoir accès au meilleur de la science. Pour 1 $ le traitement…
- Poussières de Paix | Frédéric Laffont | Camera Magica
Palestine-Israël, Seconde Intifada. D'octobre 2000 à février 2002, Frédéric Laffont va revenir une douzaine de fois en Israël et dans les territoires palestiniens pour raconter autre chose que l'escalade vers le pire. Seul avec sa caméra, il va à la rencontre des personnes qui, des deux côtés, s'efforcent de construire la paix. Poussières de Paix Le Monde : “Poussières de paix, long métrage de Frédéric Laffont, est un film d'espoir, une oeuvre à contre-courant, comme toujours avec ce grand reporter-documentariste. Prix Albert-Londres en 1987, ce partisan d'une télévision engagée et subjective a pour principe de prendre son temps. “Les films se font surtout quand on ne filme pas ", dit-il. Humanisme.” Montage Jean-François Giré Durée: 70' © France 2, Interscoop, 2002 Palestine-Israël, Seconde Intifada. D'octobre 2000 à février 2002, le grand reporter va revenir une douzaine de fois en Israël et dans les territoires palestiniens pour raconter autre chose que l'escalade vers le pire. Seul avec sa caméra, il va à la rencontre des personnes qui, des deux côtés, s'efforcent de construire la paix. En même temps, radios et télévisions commentent le dernier attentat et les combats en cours.
- Mille et un jours | Frédéric Laffont | Camera Magica
"Mille et un jours n’est pas un documentaire de plus sur le conflit israélo-palestinien, mais un essai cinématographique original et plein d’intelligence. Entre documentaire et fiction, Frédéric Laffont signe un film plein d’espoir. Un lumineux message de paix." Mille et un jours Etoile SCAM 2007 Le Nouvel Observateur : "Mille et un jours n’est pas un documentaire de plus sur le conflit israélo-palestinien, mais un essai cinématographique original et plein d’intelligence. Une autre manière de raconter : une autre manière de voir ce conflit. Entre documentaire et fiction, Frédéric Laffont signe un film plein d’espoir. Un lumineux message de paix." Synopsis : "N’est-ce pas là, dans ce conflit, le meilleur rôle que peut jouer le cinéma ?'' Le Point : "Un de nos meilleurs documentaristes politiques tente de "désenvoûter" le conflit israélo-palestinien (…) Un film atypique, prenant, à montrer dans toutes les écoles." Studio : "Mille et un Jours ne ressemble à aucun autre documentaire. Loin de tout angélisme, cette œuvre, à la fois poétique et brutale, mérite toute votre attention. Passionnant." Les nouvelles Fiches du cinéma : "F.Laffont s’attache à rendre la réalité quotidienne de ces hommes et de ces femmes, sans parti pris. Au nom de l’humanité. Un regard empli de justesse, de respect et de dignité." Florilège de presse Un film de Frédéric Laffont Montage Guy Lecorne Durée: 1h18' © Albert films, Archipel 35, France 2 Cinéma, 2003 Que te raconter ? La pierre, le char, les oliviers qu'on abat ? Bien sûr, je t’en parlerai… Je te raconterai aussi des histoires, des visages et l’espoir : mille et un chemins qui mèneront à la paix. Un jour. La nuit brille un instant, puis c’est le jour à nouveau.