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Contactez Frédéric Laffont et Camera Magica pour toute demande de diffusion, collaboration ou information sur ses films documentaires. contact. Pour toute demande de diffusion, de collaboration ou d’information sur les films de Frédéric Laffont, v ous pouvez nous écrire à l’adresse suivante : info@cameramagica.fr Ou utiliser le formulaire ci-dessous. Votre nom Votre e-mail Votre numéro de téléphone Écrivez votre message ici Envoyer Merci pour votre message

"Dans les bottes de Clint est un documentaire qui traite moins de rodéo que de la façon dont un fils incarne les rêves de son père. Dont les rêves du père investissent le corps du fils. Chez les Grecs, ça aurait donné une tragédie. Chez les cow-boys, c'est un western." Frédéric Laffont Dans les bottes de Clint Étoile de la SCAM 2013 Télérama : “ Qu'est devenu le monde dont John Huston célébrait l'agonie dans Les Désaxés , en 1960 ? C'est cette question qui a guidé le documentariste Frédéric Laffont dans l'Ouest américain, à la rencontre de ces cow-boys qui n'en finissent tellement pas de mourir qu'il en existe encore, animés par l'esprit des pionniers dont les westerns portent l’empreinte. "Arrivant à Houston, je vois des types et je leur pose des questions par rapport au personnage de Montgomery Clift dans Les Désaxés. Je convoque ce personnage de fiction qu'ils ne connaissent évidemment pas – ils n'ont vu aucun film, ni n'ont lu aucun livre – pour savoir s'ils connaissent quelqu'un dont la vie serait comparable à la sienne. Quelqu'un qui se ferait fracasser de rodéo en rodéo, sans arrêter de dire : "T'inquiète pas maman. Tout va bien. J'ai gagné cent dollars." Ils se marrent et me répondent que le meilleur d'entre eux est Clint Cannon. Voilà comment j'ai rencontré Clint la première fois, dans sa petite maison de Waller (Texas). "Derrière le cimetière, près d'un grand chêne", m'avait-il indiqué au téléphone. Les volets étaient fermés. Après avoir poussé la porte, qui bien évidemment grinçait, j'ai distingué dans la pénombre une vingtaine de chapeaux et autant de fusils. Un grand écran diffusait des images d'Afghanistan, devant lesquelles étaient assis Clint et son frère, chapeautés et vêtus de noir. Sans se retourner, Clint m'a demandé si j'avais mangé. Je me suis alors dit : "C'est lui !" De cette rencontre et des quelque 20 000 kilomètres passés avec lui sur les routes, à rouler de rodéo en rodéo à la conquête du rêve commun aux jeunes cow-boys (acquérir un ranch), est né en 2006 Ballade pour un cow-boy. « Ce premier film, c'était un peu l'errance du cow-boy dans les grands espaces, comme le souhaitait ARTE. Dans les bottes de Clint, que j'ai réalisé par la suite pour France Télévisions, est un documentaire plus ambitieux, qui traite moins de rodéo que de la façon dont un fils incarne les rêves de son père. Dont les rêves du père investissent le corps du fils. Chez les Grecs, ça aurait donné une tragédie. Chez les cow-boys, c'est un western. » Après avoir été tenté d'intégrer le cow-boy et son univers dans une fiction – « idée stupide, erreur complète, comme s'il fallait prendre ses distance avec le documentaire pour aller plus loin ! » –, Frédéric Laffont revient du Texas et s'apprête aujourd'hui à entrer en salle de montage pour donner forme à ce qui pourrait être l'aboutissement de sept ans de compagnonnage avec Clint, qui a fini par devenir vice-champion du monde de rodéo et a acheté deux ranchs. « Lui et son père ne se parlent plus, d'accord. Mais tout le monde vit désormais sur un petit nuage. » Avant de découvrir ce long métrage au cinéma, plongez dans les bottes de Clint, héros de sa vie – fût-elle difficile. Un film de Frédéric Laffont Durée: 1h03' © Les Films d'ici, Camera Magica 2011 Montage : Jean François Giré Pauline Casalis Clint Cannon est un cow-boy de rodéo. Comme son père, il rêve de se qualifier pour les finales de Las Vegas. Son avenir, c'est le prochain rodéo, et de rodéo en rodéo, il traverse l’Amérique. Il dort souvent dans la voiture, il n’a parfois plus de quoi manger, mais un cow-boy comme Clint ne se plaint pas. Être un cow-boy en ce début du XXIème siècle, c’est affronter les miles dans une voiture climatisée, la solitude et l’ennui sur des parkings, mais c’est aussi, pour Clint, défendre une certaine idée de la patrie : “Le monde entier sait que l’Amérique a été faite par les cow-boys. On ne va pas la laisser mourir.” Au fil des rodéos, il risquera de perdre à peu près tout (sa fiancée, sa santé, ses derniers dollars) ; tout sauf ses illusions et le soutien inconditionnel de son père. Grandeur et décadence des rêves. En route, vers le titre mondial !

Wally Schirra rêvait d’être pompier, il deviendra astronaute. En 1959, il fait partie des sept premiers astronautes américains sélectionnés par la NASA. Seul astronaute à avoir volé sur Mercury, Gemini et Apollo,. Wally Schirra raconte avec humour et passion son incroyable aventure spatiale, témoin privilégié de l’une des plus grandes épopées du XXe siècle. Captain W, astronaute Etoile SCAM 2007 ENGLISH VERSION Un film de Frédéric Laffont Montage Jean-François Giré Durée: 56' © France 3, Interscoop, Cité des Sciences et de l'Industrie, 1994 Wally Schirra rêvait d’être pompier, il deviendra astronaute. En 1959, il fait partie des sept premiers astronautes américains sélectionnés par la NASA. À la question d’un journaliste : "Qui pense revenir vivant de l’espace ?", il lève les deux mains. Premier à réussir un rendez-vous spatial, il amuse Houston en signalant un « OVNI rouge" qu’il dit être le traîneau du Père Noël, en décembre 1965. Seul astronaute à avoir volé sur Mercury, Gemini et Apollo, Wally Schirra raconte avec humour et passion son incroyable aventure spatiale, témoin privilégié de l’une des plus grandes épopées du XXe siècle.

Médecins Sans Frontières, 20 ans déjà en 1991. Avec la voix de Michel Piccoli. À cœur, À corps, À cris Prix au Festival International de Monte-Carlo, 1992 Le Monde: "Christophe de Ponfilly and Frédéric Laffont's documentary is exemplary in that it reveals humanitarian organisation in all its complexity and ambiguity, without imposing a particular point of view and without breaking the essential dream dimension. This is their thirty-fifth film, and their most important since Poussières de guerre (about the war in Afghanistan). In 1990, after six months of preparation, Frédéric Laffont left Paris for Cambodia and Christophe de Ponfilly flew to Sri-Lanka. Twenty months later and twelve countries later, they returned with one hundred and twenty hours of film, which had to be reduced to three. Their credo: take as much time as you need. Let people express themselves by filming their silences as much as their words," says Frédéric Laffont. 'But after three weeks of filming, sometimes there are only thirty seconds left!' A 3x52 minutes collection Films co-written and co-directed by Frédéric Laffont and Christophe de Ponfilly Editing: Jean-François Giré Length: 1h46' © FR3, Gaumont Robur Télévision Multiédia, BRT, TSR, Interscoop, 1991 English version: FRONT LINE DOCTORS Médecins Sans Frontières, already 20 years old in 1991. AT THE HEART: commitment. IN THE BODY: the field. IN CRISIS: questions and outrage. With the voice of Michel Piccoli. I remember quoting Bergson at the top of the production schedule: 'Act as a man of thought. Think as a man of action.' Two years of filming, followed by a long personal partnership with MSF. I became a member of the Board of Directors for six years. I met some of the best people of my life.

Bibliographie de Frédéric Laffont : découvrez ses livres. Frédéric Laffont, en tant qu'écrivain, poursuit la même quête que dans les films de Camera Magica : d’une écriture dépouillée et profonde, il explore les nuances de destinées humaines. Paris, Kigali, Kaboul, Jérusalem et Gaza… books. Au 24 faubourg Saint-Honoré éditions de L'Iconoclaste, 2024 Une vie par le menu Prix Passion Littérature éditions de L'Iconoclaste, 2022 Mille et un jours, mille et une nuits éditions Arléa, 2002 à propos du conflit isréalo-palestinien. Maudits soient les yeux fermés édition Lattès, 1995 à propos du génocide au Rwanda Poussières de guerre éditions Robert Laffont, 1990 Sur la guerre URSS-Afghanistan Co-écrit avec Christophe de Ponfilly

Filmographie de Frédéric Laffont : découvrez ses documentaires primés produits avec Camera Magica et d'autres. Frédéric Laffont parcourt le monde avec sa caméra, attentif aux silences, aux regards, aux fractures et aux élans d’humanité. les films.

Explorez le parcours de Frédéric Laffont, réalisateur primé et fondateur de Camera Magica. Une œuvre documentaire guidée par l’engagement et l’humanité. Founder of Camera Magica, Frédéric Laffont chronicles the world with a handheld camera and an open heart. This page invites you to discover his career, his commitments, and what inspires his documentary filmmaker's perspective. Merry-go-round rides then world tours. Around sixty films: major reports and documentaries. Albert Londres Prize for a report on the war in Lebanon. A collection of short films for Hermès. A feature film shot in Ukraine since 2022. Literary essays written in Paris, Jerusalem, Kigali and Kabul too. Frédéric Laffont His documentaries have the strange beauty of Pasolini's early films. L'Express A rare filmmaker. Le Nouvel Obs. Selected filmography Nous, l’Ukraine 2025, long-métrage cinéma. Empreintes sur le monde 2025, Collection d'Hermès de courts-métrages. La vie devant nous France, 2022. FIPADOC 2022. Couleur café Inde, 2019. Les Enchanteurs Belgique, 2017. Étoile SCAM. Cowboys don’t cry Texas, 2015. Mesure et démesure Jura suisse, 2014. Liban, des guerres et des hommes (série 3 x 52’) FIPA & Étoile SCAM, 2014. Dans les bottes de Clint Texas, Étoile SCAM 2013. Les mains d’Hermès France, 2011. 1$ pour une vie Burkina, Mali, Inde, USA, 2009. FIPA 2010. Voyage au centre de la Bibliothèque Paris, 2007. 1001 jours Israël-Palestine, Étoile SCAM 2007. TOKYO BLUES & SUSHIS CONFITS Japon, 2004. Poussières de Paix Israël-Palestine, Prix Festival d’Angers 2002. Secrets de cuisine de l’Ambroisie France, 2001. Fleur de Cannelle Chili, 2000. Liban, voyages, voyages Grand Prix Ptolémée de Géographie, 2000. Banlieue Olympique France, 1998. planète CNN USA, Bosnie, Jérusalem, 1997. Fugues américaines Louisiane, Prix Saulieu 1996. Anges et démons de la cité France, 1994. CAPTAIN W, ASTRONAUTE USA, 1994. Le Menu France, 1994. Maudits soient les yeux fermés Rwanda, 1996. Grand Prix Angers et Écran d’Or Montréal 1996. Dieu, poste restante, Jerusalem Jérusalem, 1993. A quoi rêvent les boxeurs ? France, Grand Prix Palerme, 1994. Ramdam sur terre et mer France, 1993. Entracte au Château de Prague République tchèque, 1993. Beyrouth,des balles et des ballons Nymphe d’Or & Prix critique internationale Festival Monte-Carlo, 1993. Poussières de Guerre Afghanistan, URSS. Grand Prix Angers & Festival Rueil, 1990. À corps, À cœur, À cris Monde, 20 ans MSF, 1992. Prix Spécial Festival Int. Monte-Carlo, 1992. Autofolies France, 1990. L’opium du peuple URSS, 1988. Colères noires de Soweto Afrique du Sud, 1988. On s’aimait tant à Santiago Chili, 1988. Pas de larmes pour Mao Chine, Meilleur Reporter d’Image, 1987. La guerre des nerfs Liban, P rix Albert Londres, 1987. La mer arrive encore au Liban Prix du jury Festival Monte-Carlo, 1987. Shanghai New Look Chine, 1985. Each of these films tells a story, a perspective, a part of truth. Through Camera Magica, Frédéric Laffont continues to capture humanity in its most fragile and luminous form. His career demonstrates a loyalty to commitment, to the right emotion, to a story that moves. And behind each image, always the same intention: to film with the heart.

"Le magnifique travail de Frédéric Laffont sur l’interminable guerre du Liban (1975-1990) nous permet de regarder un documentaire hors du commun. Il fera date. Laffont lui a consacré plusieurs années de sa vie. Le film en trois parties qui en résulte ne ressemble à aucun autre. Il prouve que la télévision peut montrer l’invisible. (…) J’y vois la réussite prodigieuse de ce film." Le Nouvel Observateur Liban, des guerres et des hommes FIPA et Étoile de la SCAM 2014 TéléObs : “Un cinéaste rare”. Le Nouvel Observateur : "Le magnifique travail de Frédéric Laffont sur l’interminable guerre du Liban (1975-1990) nous permet de regarder un documentaire hors du commun. Il fera date. Laffont lui a consacré plusieurs années de sa vie. Le film en trois parties qui en résulte ne ressemble à aucun autre. Il prouve que la télévision peut montrer l’invisible. (…) C’est cet invisible là que Laffont est parvenu à saisir, à filmer, à nous faire toucher du doigt. J’y vois la réussite prodigieuse de ce film." Télé Star : "Émouvant et fascinant." Le Monde : "Un film remarquable qui plonge au plus intime et où se lit tout l’attachement humaniste d’un homme pour un pays usé par des années de déchirures meurtrières." AFP : "Un brillant documentaire". Le Pélerin : "Rompu au Proche-Orient, Frédéric Laffont a écarté hommes politiques et spécialistes pour privilégier la parole “ordinaire”, l’humain. Un grand documentaire." La Croix : "Pendant trois ans, Frédéric Laffont a recueilli la mémoire des Libanais. Sa remarquable série documentaire se veut un message de paix et d’espoir. Le souci de rendre aux Libanais la parole qui leur a été confisquée est au cœur de la série documentaire en trois volets de Frédéric Laffont. Sans analyse ni commentaire en voix off, cette mosaïque d’un peuple déchiré par la guerre acquiert une dimension universelle." Ouest-France : “Voilà un grand film, sur le fond et la forme. Pas le récit chronologique du Liban depuis 1975, mais le regard de chrétiens, musulmans, libraire, chauffeur de taxi, homme d’affaires…” Télérama, à propos du troisième épisode : “Frédéric Laffont clôt sa fresque libanaise en récoltant toujours ces fragments subjectifs, qui dialoguent pour esquisser une Histoire encore refusée par l’Etat. Cet ultime volet est d’une incroyable force, véritable œuvre de paix où ceux qui ont tenu les armes, qu’ils soient combattant palestinien, milicien chiite ou dignitaire des Forces libanaises, crient l’inutilité de la guerre. Et reconnaissent tous avoir perdu.” Des films de Frédéric Laffont Montage Catherine Rascon Durée: 3 X 52' © Artline films, Camera Magica, INA, 2012 LEBANON OF WARS AND MEN 1/3 ÉPISODE 1. 1975 - 1982 Ce premier chapitre balaie une période de sept ans de guerres successives, d’avril 1975 au bombardement de Beyrouth par l'armée israélienne en 1982. Une somme de témoignages compose le film, comme une mosaïque fragmentée révélant la complexité du conflit. LEBANON OF WARS AND MEN 2/3 ÉPISODE 2. 1982-1990 Ce deuxième épisode s'intéresse à la période la plus dure des conflits successifs qui ont ravagé le Liban, depuis l'invasion de Beyrouth par l'armée israélienne en 1982, jusqu'à un accord de fin de guerre signé en 1989. Les témoignages sont resserrés notamment autour de l'horreur des combats fratricides. LEBANON OF WARS AND MEN 3/3 ÉPISODE 3. 1990-2012 Ce dernier chapitre est consacré à la période de reconstruction et de paix fragile, entre 1990 et 2012. Les stigmates des guerres sont encore bien visibles.

Chaque soir, le rideau va se lever. "C’est l’utopie à laquelle on croit tous ici ! ". Frédéric Laffont a filmé au fil de deux saisons lyriques au théâtre royal de la Monnaie (Bruxelles), en un temps troublé où la culture ne semble plus une priorité pour l’Europe, Les Enchanteurs défendent une certaine vision du monde et de la société. Les enchanteurs Etoile SCAM 2017 Chaque soir, le rideau va se lever. "C’est l’utopie à laquelle on croit tous ici ! ". Sur scène et derrière, dans les ateliers et les bureaux : plus de quatre cents personnes, visibles ou invisibles, œuvrent à faire de cette utopie une réalité. Ils sont Les Enchanteurs. Filmé au fil de deux saisons lyriques, en un temps troublé où la culture ne semble plus une priorité pour l’Europe, Les Enchanteurs défendent une certaine vision du monde et de la société. English version: BEYOND THE STAGE Un film de Frédéric Laffont Montage Catherine Rascon Durée: 90' © La Monnaie / De Munt, Camera Magica, Simple Production, ARTE G.E.IE, RTBF, 2016

"Frédéric Laffont a pieusement recueilli ce qu’il appelle des « poussières de paix », petites histoires douces-amères qui font croire le temps du récit que tout n’est pas définitivement saccagé sur cette terre appelée «Sainte »." Mille et un jours, mille et une nuits Editions Arléa, 2004 Lecture de Rachida Brakni à La Comédie-Française Que te raconter ? La pierre, le char, les oliviers qu'on abat ? Bien sûr je t'en parlerai... je te raconterai aussi des histoires, des visages et l'espoir : mille et un chemins qui mèneront à la paix. Un jour. La nuit brille un instant, puis c'est le jour à nouveau. Le Figaro : « Frédéric Laffont, grand reporter habitué des conflits, a fait un pas de côté. Il incarne ainsi ce «camp de la paix » que l’on dit exsangue. Il donne plutôt une leçon d’humanité qu’une leçon d’ histoire. » France Inter, l'Humeur Vagabonde : « Un sujet particulièrement brûlant, à propos duquel il est bien difficile de faire entendre d’autres voix que celles des certitudes haineuses et des simplifications partisanes (…). Frédéric Laffont a pieusement recueilli ce qu’il appelle des « poussières de paix », petites histoires douces-amères qui font croire le temps du récit que tout n’est pas définitivement saccagé sur cette terre appelée «Sainte ». Un récit poétique, un document précis, une fiction rêvée, en tous cas un film et un livre inclassables. » Télérama : « Frédéric Laffont, auteur de remarquables documentaires est un conteur aguerri (…). Ces carnets de guerre-là, écrits à la première personne et dits par une voix de femme, sont un hymne sensible à la survie et à la paix. Ils empruntent les chemins de traverse, ils écoutent les gens, ils cherchent des raisons d’espérer. La meilleure façon de marcher, en somme. »