DE PRESSE
Richard Cannavo, Le Nouvel Obs :
“Un cinéaste rare”.
Christine Rousseau, Le Monde :
« Un film remarquable qui plonge au plus intime et où se lit tout l’attachement humaniste d’un homme pour un pays usé par des années de déchirures meurtrières. »
Jean-Claude Guillebaud, Le Nouvel Obs :
« Le magnifique travail de Frédéric Laffont sur l’interminable guerre du Liban (1975-1990) nous permet de regarder un documentaire hors du commun. Il fera date. Laffont lui a consacré plusieurs années de sa vie. Le film en trois parties qui en résulte ne ressemble à aucun autre. Il prouve que la télévision peut montrer l’invisible. (…) C’est cet invisible là que Laffont est parvenu à saisir, à filmer, à nous faire toucher du doigt. J’y vois la réussite prodigieuse de ce film »
"Un brillant documentaire". AFP
Aude Carasco, La Croix :
“Pendant trois ans, Frédéric Laffont a recueilli la mémoire des Libanais. Sa remarquable série documentaire se veut un message de paix et d’espoir. Le souci de rendre aux Libanais la parole qui leur a été confisquée est au cœur de la série documentaire en trois volets de Frédéric Laffont. Sans analyse ni commentaire en voix off, cette mosaïque d’un peuple déchiré par la guerre acquiert une dimension universelle.”
« Émouvant et fascinant. » Télé Star
Le Pélerin :
“Rompu au Proche-Orient, Frédéric Laffont a écarté hommes politiques et spécialistes pour privilégier la parole “ordinaire”, l’humain. Un grand documentaire.”
Ouest-France :
“Voilà un grand film, sur le fond et la forme. Pas le récit chronologique du Liban depuis 1975, mais le regard de chrétiens, musulmans, libraire, chauffeur de taxi, homme d’affaires…”
Anges et démons de la Cité
L’Express :
Ce documentaire à l’étrange beauté des premiers films de Pasolini.
Le film de Frédéric Laffont est un chef d’oeuvre, qu’on rêverait de voir en salle. Aucun cliché, ici. Frédéric Laffont le prouve : aucun sujet n’est rebattu dès lors que la passion s’en mêle.
Le Point :
Frédéric Laffont, l’auteur, signe là un document décapant. Une gifle aux bons sentiments et aux préjugés sécuritaires.
Secrets de cuisine
Télé 7 jours :
Plus qu’un enchantement pour les sens, quelque chose ici, passe à l’écran: cette alchimie particulière qui surgit parfois entre un réalisateur virtuose du son et de l’image, et un homme inspiré.
Ramdam sur terre et mer
Télérama :
Ce n’est pas un petit mais un très grand bonheur que nous offre ce soir Frédéric Laffont. Difficile de résumer ce si beau et si riche documentaire de Frédéric Laffont. Le réalisateur n’a pas son pareil pour filmer juste et faire exister en quelques plans un voisin ou un ami qui ne fait que traverser le film. Ramdam sur terre et mer est un magnifique hommage aux magiciens de l’ordinaire, incroyablement doué pour le bonheur.
Banlieue Olympique
Le Nouvel Obs :
Attentif et fraternel, Frédéric Laffont a vécu de longues semaines au rythme de l’Olympique. Il en revient avec un film magnifique où, sur un air de valse musette, au pied des grands ensembles, il ébauche le portrait d’une France qui hésite entre rire et douleur, et fait peur à qui l’observe de trop loin.
La planète CNN
Le Nouvel Obs :
Éclatante réussite ! En toute logique, on ne devrait plus pouvoir débattre de la télévision en général, après cet extraordinaire document, comme on le faisait avant. Renonçant à tout jugement appuyé, bannissant tout commentaire, Laffont prends en quelque sorte la logique de CNN à son propre piège en laissant parler les images.
L’existence de dissidents magnifiques comme Frédéric Laffont et d’un refuge comme Arte ne nous jamais paru aussi dramatiquement nécessaire…
Le Monde :
Frédéric Laffont évite les commentaires. Il préfère laisser parler les images, imitant en quelque sorte la méthode CNN. On découvre le système et la philosophie de la chaîne. Le documentaire est remarquable, ce qu’il montre est inquiétant.»
Maudits soient les yeux fermés
La Vie :
«Un pavé dans la mare, aux ondes de choc infinies.»
Captain W. Astronaute
National Air and Space Museum :
C’est l’une des meilleures biographies d’astronautes qu’il m’ait été donné de voir. Beaucoup d’humour dans un grand respect. L’occasion pour Wally de raconter son histoire, ce fut un plaisir que de regarder ce film.
A quoi rêvent les boxeurs?
VSD :
Construit comme un combat en 12 rounds, dans une salle de boxe en banlieue. K.O par bonheur!
Dieu, poste restante, Jérusalem
La Croix :
On retrouve dans cette production de Frédéric Laffont pour Zanzibar, une démarche semblable à celle de son film «Beyrouth, des balles et des ballons», Nymphe d’Or au Festival de Monte Carlo, la même sensible approche de l’homme jeté dans l’histoire, la même justesse de ton pour maîtriser une réalité complexe.
Entracte au château de Prague
Le Pélerin :
Un documentaire hors du commun
Beyrouth, des balles et des ballons
Le Monde :
Talent de réalisateur: de confession en confession, de détail en détail, d’un cri de supporter à une pensée en forme de poème, Frédéric Laffont donne à son reportage une épaisseur allégorique et fait d’un film sur le foot, un film sur le Liban. (…) Comme dans Allemagne année zéro de Rossellini, le film de Frédéric Laffont commence en effet par un après-guerre, une fin de monde."
A coeur, A corps, A cris
Télérama :
Un an de tournage, cinq mois de montage, 150 heures de rushes. Lorsque Christophe de Ponfilly et Frédéric Laffont s’embarquent sur un film, ils prennent le temps de poser leur regard. D’écouter et de voir. Le style de ces francs-tireurs, prix Albert-Londres l’un et l’autre, s’est imposé comme une référence.
Poussières de guerre
Le Figaro :
Christophe de Ponfilly et Frédéric Laffont ont traqué, dans les deux camps, les stigmates de l’absurde conflit soviéto-afghan. Redoutable exercice, admirable résultat.
VSD :
Un travail magnifique. L’esprit du grand reportage à l’état pur.